JOUR 16 - SAN PEDRO DE ATACAMA / IQUIQUE - Lundi 20 novembre 2017

Publié le  20 Novembre 2017

Quitter San Pedro ce matin a été relativement facile... Quoique... On prend vite des habitudes après trois jours de repos. Dernier détour par l’unique et presqu’ inaccessible pompe à essence située exactement au centre de la ville et dissimulée dans la cour d’un hôtel. Arrêt-minute chez le notaire pour faire une déclaration de perte de carte grise et direction Calamas par le désert d’Atacama. De nouveau des paysages improbables, des volutes de pierres rousses qui barrent l’horizon, des champs d’éoliennes brassant mollement le ciel, des milliers de panneaux solaires qui le disputent aux surfaces stériles du sol.
On évite Calama,ville minière à l’activité fébrile, pour foncer vers l’est, avides de jeter un premier regard sur les flots du Pacifque. Tocopilla, et cap au nord. Longue route qui suit la côte, où on trouvera une assados pour le repas du midi, à partager avec le routiers chiliens où les pêcheurs locaux. Des lions de mer imposants viendront saluer nos mécaniciens avant que ceux-ci ne ratent un contrôle de douane. Aïe.
La Mercedes, la 505, la Citroën CX et la DS emprunteront en premier la vertigineuse descente sur la ville de Iquique. Comme pour nous narguer une gigantesque dune de sable doré s’est installée au sud de la cité.
Le bel hôtel sur le front de mer, après avoir feint de ne pas nous connaître, nous a finalement ouvert ses portes et nous a dispensé ses bienfaits. Ouf !
Les 2cv, Alfa Romeo, Range Rover, R20 et autres Peugeot 309 on trouvé dans le garage souterrain un abri accueillant et sûr.
Ce soir l’attrait de cette ville balnéaire réputée s’exercera sans doute sur le plus jeunes d’entre nous !

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